En Peiros, où les fonctions des citoyens sont tirées au sort, Ariadnê
est liée mentalement à la jeune Orianne qui, bien que jugée inapte, a
été désignée ambassadrice. Ensemble, elles tentent de survivre en
démêlant intrigues politiques et conflits d’intérêts.

Sanyakta, l’étrangère, recherche sa famille disparue sur ce continent où elle doit se jouer des préjugés hostiles.
Ancien galérien toujours esclave, Un voit son passé refaire surface au contact de ses nouveaux maîtres.

Trois sentiers de vie qui se croisent au risque de saper les fondations d’une
société injuste – trois voix racontant l’entraide et la quête des
origines, et luttant pour un autre destin.


Dimension : Petit format (14 × 21 cm)
Nombre de pages : 272
ISBN papier : 9782490418589

Genre : fantasy, light fantasy
TW :esclavage, psychophobie

Me concentrer à nouveau.
Laisser les doutes derrière moi.
Me forcer à avancer.
Pour vous. Pour vous retrouver.
Peut-être ?

Très bien écrit, avec pour chaque personnage un style de langage (poétique souvent), une typographie et mise en page différente qui ajoute à ce roman comme un 4ème personnage: la liberté de sortir des conventions. Merci pour ce beau roman qui m’a fait rire, pleurer, et poser des questions.

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 j’avoue ne pas etre fan de ce genre litteraire (fantasy) mais il faut reconnaitre que le style et l’histoire m’a cueilli assez rapidement ce qui a fait que j’ai lu ce bouquin en quelques heures…le destin de tous les hommes, conditionnés par leurs origines, un grand theme developpé ici par le biais d’histoires qui finissent par se croiser…alors vous allez me dire que ce n’est pas original…certes..mais l’auteure a son style bien a elle qui rend les personnages O combien vivants, proches de nous finalement. bref une bonne surprise , merci aux editions GEPHYRE de m’avoir fait decouvrir Bénédicte Coudière

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Passionnant, plein d’émotions, de magnifiques personnages, une belle écriture, oui, c’est un bon choix pour un début d’année 😉
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Mon #VendrediLecture je l’ai refermé hier, incapable de passer à un autre livre. Si vous avez envie d’un récit prenant, sur les liens, la mémoire, la liberté, l’absurdité des règles sociales, lisez « Ce que le destin nous refuse » de

Ketty Steward sur Twitter